Se tourner vers des produits naturels et Bio

Comme affirmée précédemment, la peau de bébé est très douce. Il faudra du temps pour qu’elle puisse s’acclimater à son nouvel environnement. De par cette sensibilité, il est plutôt sécurisant d’utiliser des produits pour bébé issus d’ingrédients naturels. Cela évite clairement les différents problèmes comme l’allergie, l’éruption cutanée, la sécheresse cutanée…

Bon nombre de produits sûrs sont vendus sur le marché. C’est le cas de ceux proposés en parapharmacie en ligne sur maxiparapharmacie. Ils sont bien adaptés à la peau des nourrissons. Parmi les articles de base que les parents doivent intégrer dans la trousse de toilette de leurs enfants, on distingue le shampoing doux, le nettoyant sans savon, la crème hydratante non parfumée…

Pour faciliter le choix de ces produits, l’idéal serait de se tourner vers ceux qui sont non parfumés et ceux qui sont dépourvus de substances nuisibles.

Assurer un nettoyage régulier de la peau

Pour votre information, la peau d’un bébé est souvent recouverte d’une substance protectrice connue sous le nom de vernix qui sert de barrière protectrice grâce à ses divers bienfaits. Il est donc important de la conserver le plus longtemps possible. Celle-ci se détache petit à petit durant les deux semaines qui suivent la naissance. Ce qui explique pourquoi il faut éviter l’excès de bain. Un nettoyage léger suffit pour garder la peau de bébé saine. Cet excès peut engendrer la disparition de cet élément naturel.

Par contre, si besoin, et selon son âge, bébé peut prendre un bain 3 à 4 fois par semaine. L’idéal serait d’utiliser un nettoyant doux qu’il est possible de trouver sur une parapharmacie en ligne. En plus de cela, il faut veiller à ce que l’eau du bain soit tiède. Il en est de même pour la pièce où on lui fait prendre son bain. Pour sécher la peau de bébé, il est aussi nécessaire de privilégier des serviettes en coton douces.

Vérifier les éventuels problèmes de peau

Certains nourrissons peuvent démontrer des problèmes cutanés particuliers.  Il faut donc prendre le temps de toujours vérifier la peau du bébé. La plupart du temps, il s’agit d’éruptions cutanées comme la dermatite atopique ou encore l’eczéma. Pour les traiter, l’idéal pour les parents serait de consulter un spécialiste rapidement. Il pourra prescrire des traitements efficaces et faciles à acheter auprès d’une pharmacie ou bien sur une parapharmacie en ligne.

Dans le cas d’une dermatite, par exemple, on voit apparaître souvent des plaques rouges. En séchant, elles engendrent des irritations, des démangeaisons et des pellicules. Certes, il est difficile de le guérir sachant qu’il s’agit d’une affection cutanée héréditaire. Par contre, avec l’évolution de la médecine, il est possible de suivre un traitement adéquat pour le contrôler.

D’autres solutions faciles à réaliser au quotidien

En plus de ces routines de soin, d’autres actions peuvent aussi être réalisées comme un massage corporel du corps. Il est même possible d’utiliser des huiles végétales pour hydrater et nourrir la peau de bébé. C’est le cas de l’huile d’olive ou encore l’huile de coco. Les huiles commerciales sont à bannir, car ils peuvent contenir du parfum et des produits chimiques.

Pour les vêtements et la literie, même s’ils sont neufs, doivent être lavés avant utilisation. Pour ce faire, il est recommandé d’employer un détergent doux et non parfumé disponible sur une parapharmacie en ligne. Celui-ci aide à éliminer les éventuels germes ou autres saletés.

Conseils pratiques

Pour choisir une activité sportive, il faut savoir que l’alimentation et le sport font bon ménage. Si le but de la pratique est de vouloir maigrir, négliger son alimentation peut être fatale. Il y a bien des règles à respecter pour atteindre son objectif de corps parfait. Mais, le fait est que certains se mettent au sport espérant recueillir des résultats dans l’immédiat. Or, dans une activité physique, il est essentiel de vraiment s’impliquer et de patienter. La base, c’est en fait de savoir équilibrer son régime alimentaire en fonction des dépenses énergétiques. Là, on ne parle pas forcément de quantité, mais surtout de qualité et d’apports nutritionnels complets. Si faire du sport élimine les calories, il faut compenser le régime par les nutriments indispensables, par exemple, en consommant plus d’aliments riches en vitamines, calcium, fer et oméga 3. Il est même conseillé de se rapprocher d’un nutritionniste pour bien se préparer. Un professionnel peut suggérer le régime adapté de manière à accélérer les résultats. Certes, avoir un coach sportif c’est avoir un accompagnement sur mesure.

Gérer son rythme

Il n’est pas nécessaire de foncer tête baissée dans le sport et se dire en une petite semaine qu’on est le champion. Fournir beaucoup d’efforts dès les premières séances est tout simplement une mauvaise idée. L’idéal serait d’établir une organisation, afin de gérer son temps dans la journée. Le matin, il n’y a pas mieux que de prendre un bon petit déjeuner bien riche et appétissant avant d’enfiler son jogging tout neuf. Au menu, on privilégie les produits laitiers, un morceau de fromage, un pot de yaourt ou un bol de lait est un excellent choix. Ensuite, on prend dans le bac à fruits une belle pomme bio, dans le frigo un pot de compote allégé. On ne se prive pas pour autant de sa tasse magique de café pendant les heures de collation. Au déjeuner, les salades sont les bienvenues à table, on s’autorise quelques morceaux de viande de temps en temps, tandis que les préparations à base de poisson sont plus prisées dans une bonne diète. Le soir, on mise sur un repas léger, alors que les friandises accompagnent quelques fois les sacs des férues de sport.

Par voie générale : miser sur le trio anti-douleur

Pour remédier au mal de dos, il existe quelques prises en charge, dont les traitements médicamenteux. Par voie générale, les antalgiques sont utiles pour rendre les douleurs beaucoup plus supportables. Du paracétamol aux AINS en passant par les plus forts comme les dérivés de la morphine, il y a plusieurs traitements souvent utilisés par auto-médication. Sinon, les inflammatoires peuvent aider à soulager les douleurs excessives. Leurs cibles d’action ne sont pas nécessairement les mêmes, mais il reste possible de les associer. Les corticostéroïdes ne sont pas conseillés pour traiter la lombalgie chronique à long terme. Les myorelaxants sont recommandés lorsque la contracture est prolongée et excessive. A prendre pendant deux semaines maximales et après une recrudescence de la douleur, ils évitent la somnolence. Enfin, les antidépresseurs tricycliques ont des effets modestes chez les lombalgiques.

Les médicaments par voie locale

Aussi connu comme « le mal de siècle », le nombre de personnes qui souffrent du mal de dos a augmenté ces 20 dernières années. Actuellement, il y a moins de travailleurs de force que de bricoleurs de dimanche, de travailleurs statiques ou des personnes stressées de la vie moderne qui représentent ce problème. Heureusement, il est possible de le traiter avec des médicaments par voie locale. Les anti-inflammatoires sont disponibles sous forme de pommades et de gels à faire pénétrer dans la peau. Les infiltrations intra-articulaires et épidurales de corticoïdes ont un effet sur les lombalgies à court terme. Elles sont déconseillées en première intention. Sinon, les activités physiques comme la natation, le yoga ou le Pilates sont recommandées. Mais, veillez à utiliser des ceintures lombaires si vous faites des exercices pénibles telles que le port de charge lourde.

Le Krav Maga : une technique de combat rapproché particulièrement efficace

C’est le Maître Imi Lichtenfeld, un champion de boxe et de lutte, qui développe cette discipline de self-défense dans les années 1940. En Français, le nom « Krav Maga » signifie littéralement « combat rapproché ». Cette méthode s’inspire de diverses techniques d’arts martiaux, notamment la boxe, le muay-thaï, la lutte, le judo ou encore le jujitsu. La discipline qu’est le Krav Maga a pour objectif d’apprendre à tout individu à neutraliser rapidement et efficacement un agresseur portant ou non une arme. Les techniques de combat enseignées se veulent être simples et efficaces afin de permettre à une personne de mettre à terre un adversaire ou de s’enfuir en cas de situations dangereuses. L’efficacité du Krav Maga n’est plus à démontrer. Cette technique de combat rapproché fut longtemps utilisée par les troupes d’élite au sein de l’armée israélienne avant de se propager partout dans le monde.

Le Krav Maga : une discipline enseignée en France

Le Krav Maga connaît un vrai essor depuis plusieurs années, surtout en France. A Rennes et Vern Sur Seiche, le Krav Maga est enseigné par ce club de sport. Cette discipline attire en tout cas de nombreux adeptes, aussi bien chez les hommes que chez les femmes. Cet engouement s’explique avant tout par la simplicité et la rapidité de l’apprentissage. En effet, pour maîtriser les techniques de base du Krav Maga, il n’est pas nécessaire de suivre des années d’apprentissage. Quelques séances dirigées par un formateur qualifié suffisent amplement. Pour les personnes ayant un métier prenant, ce gain de temps est très avantageux. En outre, les gestes utilisés pour le self-défense sont faciles à assimiler et à mettre en pratique. L’apprentissage de cette discipline est donc ouvert au plus grand nombre.

Le prélèvement

Simple, efficace et rapide, le prélèvement d’échantillon par frottis buccal consiste à insérer dans la bouche un écouvillon, un genre de coton-tige, permettant de prélever des cellules buccales et de la salive contenant de l’ADN. Il s’agit d’une procédure facile et non douloureuse que l’on peut faire dans un laboratoire ou à domicile, sur une personne adulte ou un enfant. Dans le cas d’un test de paternité, si ce type de prélèvement est réalisé convenablement, il permet d’obtenir un résultat fiable à 99,999 %. Comme le précise le laboratoire vaterschaftstest-dna.com, il faut respecter quelques conditions afin d’éviter les risques de contamination des prélèvements.

Les conditions à respecter pour garantir les résultats du test de paternité

Pour garantir les résultats du test de paternité, 4 heures avant le prélèvement, il faut éviter de consommer des produits pouvant modifier les échantillons d’ADN dans la bouche. Ainsi, il faut éviter de boire une infusion ou du café et éviter de consommer du tabac. Il faut également éviter de mâcher du chewing-gum, d’utiliser du dentifrice ou de faire un bain de bouche, car cela pourrait transformer les échantillons. C’est pour cela que l’idéal est d’effectuer le prélèvement tôt le matin, dès le réveil. Mais il est aussi possible de l’accomplir quelques heures après le repas. Puisqu’il s’agit d’un acte délicat, il faut bien se laver les mains avant d’ouvrir le kit et d’effectuer le prélèvement. Pour ce faire, il faut porter le coton-tige à la bouche et le frotter fortement pendant environ 30 secondes contre la joue et sous la langue. L’objectif est d’obtenir des cellules épithéliales, ainsi que de la salive. Ceci fait, il faut veiller à ce que le prélèvement n’entre pas en contact avec quelque chose afin d’éviter la contamination. Il suffit de le mettre dans le tube en verre qui accompagne le kit afin qu’il se sèche à l’air libre pendant environ 2 heures, puis de le mettre dans l’enveloppe avant de l’envoyer au laboratoire.

Le CBD, c’est quoi ?

Le cerveau humain possède des récepteurs dits cannabinoïdes. Ces derniers sont sensibles aux cannabinoïdes contenus dans les végétaux et le CBD appartient à cette catégorie. Par définition, le CBD ou cannabidiol est une unité organique extraite du plant de chanvre ou du cannabis. Il y est présent en grande quantité à l’état naturel. Existant également sous forme huileuse, en résine et en cristal, le CBD est de nos jours étudié comme une substance essentielle dans certaines médications et comme un complément alimentaire dans d’autres.

Les effets et les bienfaits du CBD

D’une manière générale, le recours au Cannabidiol a été adopté pour traiter les maux d’ordre nerveux comme les angoisses, la dépression et le stress. Des études ont récemment confirmé que le CBD joue un rôle important dans la gestion du stress. Ce qui pourrait expliquer la sensation d’enivrement passager éprouvée par les fumeurs de Cannabis. Un état de stress est habituellement provoqué par des incidents externes contraignants et choquants sur le plan émotionnel. Le CBD agit sur les hormones en interaction avec les endocannabinoïdes secrétés par les cellules nerveuses afin de réguler les comportements négatifs liés au stress ou à l’anxiété. Par ailleurs, le CBD est considéré comme un antidépresseur naturel très efficace. Des chercheurs ont mené des expériences afin de vérifier l’effet du cannabidiol sur la sérotonine, impliquée naturellement dans la gestion des humeurs. Les résultats ont révélé que le CBD améliore l’état mental et réduit amplement les symptômes de dépression. Et contrairement à d’autres éléments constitutifs du cannabis à l’image du THC, les risques de dépendance au CBD sont faibles. Son utilisation ponctuelle est toutefois vivement recommandée.

Il faut s’en servir dans les premières minutes

Chaque année, près de 8 millions de personnes dans le monde entier, dont plus de 40 000 en France, meurent à cause d’un arrêt cardiaque. La survie de ces victimes dépend généralement de la rapidité des secours. En effet, pour éviter que la victime ne souffre de lésions cérébrales et ne subisse de problèmes neurologiques graves, il faut réagir dans les deux premières minutes.
En cas d’arrêt cardiaque, il faut donc réaliser les gestes de premiers secours afin que le cœur de la victime puisse repartir. En plus du massage cardiaque, le défibrillateur permet de rétablir le rythme cardiaque grâce à un choc électrique.
Sans l’utilisation de cet appareil, les chances de survie de la victime sont très faibles. C’est la raison pour laquelle le défibrillateur a été proposé au grand public et recommandé dans la majorité des cas d’urgence. Si vous souhaitez vous en procurer un, ce guide pour choisir son défibrillateur peut vous être utile.

Il faut s’en servir correctement

Pour pouvoir utiliser correctement un défibrillateur, tenez compte des instructions suivantes :
– Mettez l’appareil en marche en suivant toutes les indications du fabricant ;
– Pendant que l’un d’entre vous pratique le massage cardiaque, enlevez tous les vêtements du haut de la victime afin de mettre les électrodes en contact avec la peau ;
– Au moment d’administrer le choc électrique, veillez à ce que personne ne s’approche ni ne touche la victime ;
– Selon que le défibrillateur soit entièrement automatisé (DEA) ou semi automatisé (DSA), vous pouvez appuyer sur le bouton ou laisser l’appareil administrer automatiquement le choc ;
– Poursuivez l’intervention jusqu’à ce que la victime puisse retrouver une respiration normale ou jusqu’à ce que les secours arrivent ;
– Si vous utilisez un DEA, ne l’éteignez pas même si la respiration de la victime est redevenue normale. Placez juste les électrodes sur sa poitrine en attendant que le personnel médical se charge du reste.

La surblouse lavable pour certaines occasions

Comme son nom l’indique, la surblouse est un tablier long qui couvre du cou aux jambes. Elle peut être en tissu classique ou plastifié. Ces deux déclinaisons ont leur utilisation respective. Il revient au porteur de bien mettre l’équipement de protection individuelle en fonction des tâches qu’il a à accomplir. Pour ceux qui doivent avoir un contact direct avec les malades du covid-19, il faut un modèle étanche. Le plastique préserve le soignant d’éventuelle projection de liquide physiologique. Pour rappel, le coronavirus se transmet surtout par les postillons, la sueur ou les mains. La durée pendant laquelle le médecin doit mettre son tablier imperméable reste limitée. Après une journée, il est préférable de changer de tenue. La précédente doit être jetée ou idéalement incinérée.
Pour leur part, les surblouses lavables sont adaptées aux personnes qui effectuent des tâches présentant moins de risque de contamination. C’est notamment le cas de celles qui n’ont pas de contact direct avec les patients porteurs du virus mortel. Les médecins peuvent aussi mettre ce type d’équipement face à un individu potentiellement transmetteur de maladie. Ceci étant, il faudra changer d’EPI au bout de 6 heures. La perméabilité des tissus est compromise après cette période. La surblouse lavable doit être nettoyée dans la lessiveuse électrique à une température de 60 °C. Quelques minutes suffisent pour éliminer les agents pathogènes incrustés aux fibres. Il faudra tout de même repasser le tablier en veillant à ne pas le contaminer.

Des protections pour la tête et les membres

La surblouse lavable est indispensable pour protéger les médecins, le masque l’est encore davantage. Le personnel soignant doit porter un modèle répondant aux normes FFP2. Autrement, il faut une version chirurgicale conforme aux exigences techniques ISO 7010 : 2011. Il faut également des lunettes de protection adéquates. Elles sont transparentes et doivent prévenir les projections de côté. Parfois, une visière en plexiglas s’avère plus efficace. Ce type d’équipement se fixe sur le front par un harnais faisant le tour du crâne. Pour la tête, les charlottes couvrant entièrement la chevelure sont fortement encouragées. Elles ne doivent aucunement gêner dans les mouvements. Pour ceux qui procurent des soins aux malades du covid-19, il faut une casquette ou un calot jetable.
Parfois, les avant-bras doivent être protégés contre certains risques. Des manchettes spécialement dédiées à cet effet sont disponibles sur le marché. Cela dit, les gants ont une importance capitale. Les modèles en latex à usage unique sont de rigueur. Différentes tailles sont proposées pour ne pas gêner le médecin dans ses diverses manipulations. Le plastique doit épouser parfaitement la morphologie pour minimiser l’éventualité d’une déchirure. En France, quelques entreprises leaders dans le domaine des EPI fournissent une large gamme de produits. Elles commercialisent leurs articles aux centres hospitaliers, mais également aux particuliers.

Zoom sur la vérification de paternité par le groupe sanguin

Le mécanisme de transmission du groupe sanguin à son enfant a été longtemps démontré. Un enfant hérite son groupe sanguin de sa mère et son père comme ces derniers lui transmettent ses différentes caractéristiques physiques. Le gène dit « ABO » se trouvant dans le chromosome 9 définit le groupe sanguin de chaque individu. L’expression de ce gène varie ensuite entre A, B, O ou AB. Tous les individus ont deux paires de chaque chromosome existant et plusieurs combinaisons existent dont AA, AB, BO ou AO. A et B sont toujours présents sachant qu’ils sont particulièrement dominants. En revanche, O est toujours récessif et n’est présent que s’il y a un autre O. Le groupe sanguin d’un individu se définit aussi par le rhésus positif ou négatif exprimé en + ou -. De ce fait, le groupe sanguin d’un enfant issu de parents au groupe sanguin rhésus négatif, aura également un rhésus négatif, et ce, peu importe son groupe sanguin. En gros, pendant l’analyse des groupes sanguins de l’enfant et du présumé père pour vérifier la paternité, il faut étudier le groupe sanguin et les rhésus respectifs.

La vérification de paternité par le groupe sanguin a des limites

Cette technique de vérification de la paternité par l’analyse des groupes sanguins n’est pas entièrement fiable. Elle a ses limites et ne semble pas apportes de précisions sur le lien de filiation entre un enfant et le présumé père. Même si le groupe sanguin d’un enfant est compatible avec celui de ses parent ou de son présumé père, il est fort possible qu’il soit l’enfant d’un autre individu s’il s’avère que celui-ci partage le même groupe sanguin avec le père présumé. Par ailleurs, l’examen des groupes sanguins entre les deux personnes concernées peut aboutir sur des conclusions comportant des erreurs. Le problème se pose par exemple lorsque le présumé père fait partie des individus rares avec deux groupes sanguins. Il peut aussi arriver que les deux parents donnent naissance à un enfant avec un groupe sanguin tout à fait que les leur. Les mauvaises interprétations peuvent être nombreuses avec ce type d’examen de paternité. Il est mieux de recourir au test ADN pour confirmer avec certitude un lien de filiation entre un enfant et le père présumé.

Le recours aux tests ADN est nécessaire

Actuellement, les tests ADN sont les examens les plus fiables pour vérifier la paternité. En effet, ils donnent des résultats fiables à 99.99% à condition d’être réalisés suivant les conditions requises notamment en ce qui concerne les prélèvements des échantillons. Aujourd’hui, ces tests sont accessibles en termes de prix mais il faut qu’ils soient légaux : autorisés par le juge. Un test ADN est illégal s’il est effectué en dehors de procédure judiciaire. Bien évidemment, des laboratoires situés en dehors de France proposent des tests ADN à titre privé. En outre, les résultats d’un test ADN s’obtient entre 3 et 5 jours actuellement. Bref, le test ADN est la technique la plus fiable pour vérifier la paternité. Le père présumé peut participer ou non au test, il a d‘ailleurs le droit de refuser de se soumettre au test à condition de justifier auprès du juge son refus.

Fêtes synonyme d’excès

On abuse alors de charcuterie, de sauces, de sucreries, d’alcool bien des fois, bref, de toutes ces choses qui sont néfastes pour nous mais auxquelles on ne peut résister. Heureusement qu’il n’y a qu’une seule fin d’année ! Parce qu’en cours d’année, vous pourriez aussi être convié à d’autres fêtes comme des pots de départ, des mariages ou autres festivités, ce n’est pas ce qui manque. Et de fête en fête, on prend petit à petit du poids, des formes, on contracte parfois des problèmes de santé, d’autres deviennent récurrents…

Prenez votre alimentation en main !

Maintenant que vous êtes conscient de tout cela -enfin- vous êtes décidé à agir avant que le mal soit fait. Que faire ? Buvez beaucoup ! Chaque jour, les 1,5 litres d’eau doivent être votre impératif désormais. L’eau permet de nettoyer votre organisme et d’en éliminer les toxines. Ajoutez un peu de jus de citron, c’est encore mieux. Mais attention, on parle d’eau ici et non de café, de soda ou de boissons énergisantes. Lorsque votre corps est bien hydraté, il absorbe mieux les nutriments des aliments que vous consommez. Et n’oubliez pas de faire du sport. Bougez 30 à 45 minutes au moins 3 fois par semaine. A vous le choix, soit nager, soit danser, soit courir, peu importe, pratiquez votre activité sportive favorite.